▪ multinick : Dymphna la blonde, et Cin ... le blond. #Originalité
▪ célébrité : Sarah Gadon
▪ points : 0
▪ statut : sang pur
▪ âge : 24 ans
▪ maison : serpentard
▪ orientation : Hétérosexuelle (enfin, Luciusexuelle pour être parfaitement honnête)
▪ situation : Mariée et fidèle à Lucius Malfoy
▪ crédits : fassylover (avatar) et darkparadise (sign)
▪ duels :
▪ potions :
▪ métamorphose :
▪ legilimancie :
▪ occlumancie :
▪ quidditch :
▪ divination :
Narcissa Malfoy
Sujet: CISSY ∆ devil may cry Lun 13 Juil - 18:46
narcissa malfoy
ϟ Âge : La jeune femme a récemment entamé sa 23eme année, elle est effectivement née le vingt-huit février 1955. ϟ Nationalité : Purement britannique. Il faut en effet remonter très loin pour lui retrouver des origines étrangères. ϟ Métier : Certains vous répondront d’un air suffisant qu’elle est femme au foyer. Ceux-là n’ont pas tout à fait tort, mais c’est avec fierté et intelligence que Narcissa gère le manoir Malfoy, tout comme elle s’avère être d’un grand soutien envers Lucius, son époux. Un rôle bien plus important que les mauvaises langues ne veulent l’admettre. ϟ Ancienne maison :Serpentard, comme tous les Black avant elle. Elle n’aurait par ailleurs pas supporté être envoyée dans une autre maison ! ϟ Affiliation :Mangemort, Narcissa est fidèle aux idées du Lord, tout comme sa famille. Elle ne porte néanmoins pas la marque, et sa loyauté est relative. En effet, ce qui lui importe le plus c’est sa réputation, et le bien de sa famille. ϟ Sang :Sang-Pur, elle est la cadette de Cygnus et Druella Black (née Rosier). La pureté du sang est une chose à laquelle elle accorde énormément d’importance.
ϟ Avatar : Sarah Gadon
Baguette : Narcissa possède une baguette en bois d’orme, un bois extrêmement prisé par les sangs-purs pour sa prétendue noblesse. Quand bien même c’est une chose dont peut s’enorgueillir la jeune-femme, ce n’est pas tant pour la pureté de son sang que pour l’élégance et la dignité de la cadette des sœurs Black qu’elle s’est retrouvée en possession de cette baguette. Le cœur quant à lui, une plume de phénix, à laquelle Narcissa mit peu de temps à s’habituer. Enfin, elle fait vingt-huit virgule deux centimètres, et est relativement souple. Une baguette fine et gracieuse qui convient parfaitement à la sorcière.
Miroir du Riséd : Elle s’y verrait elle, aux bras de Lucius, tous les deux légèrement plus âgés, beaux, riches et puissants. Ils rayonneraient. Dans ses bras, Narcissa porterait un enfant, aussi blond que ses deux parents, paisiblement endormi. Il est promis à un grand avenir, et elle donnerait tout pour lui, elle damnerait son âme pour que son destin soit à la hauteur du nom qu’il porte.
Épouvantard : Le manoir des Malfoy, laissé à l’abandon, une ruine. C’est bien plus une métaphore qu’une crainte réelle, la peur de voir son nom souillé, traîné dans la boue. L'angoisse de voir tout ce pour quoi elle se bat s’effondrer autour d’elle, que ce soit sa famille, Lucius, ses biens, son honneur. Non vraiment, Narcissa ne le supporterait pas, et fait d’ailleurs tout ce qui est en son pouvoir pour que cette vision jamais ne se réalise.
Amortentia : En premier, l’odeur fine et délicate d’une rose rouge sang. C’est une fleur que Narcissa a toujours beaucoup aimé, à la fois pour sa beauté, mais surtout pour ses épines, métaphore idéale de ce que doit être une femme du monde. Vient ensuite l’odeur légèrement poussiéreuse de la bibliothèque du manoir Malfoy, un endroit dans lequel elle aime particulièrement se détendre, une tasse de thé à la main, et un livre dans l’autre. C’est le seul endroit au monde où elle peut réellement se détendre et lâcher prise. Enfin, il y a l’odeur si particulière du manoir Black, qui lui rappelle immanquablement son enfance, lorsqu’elle était si proche de ses deux sœurs, avant qu’Andromeda ne trahisse sa famille.
ϟ Pseudo/prénom : Virginie ϟ Âge : 20 ans tout rond ϟ Fréquence de connexion : Oh, moi je suis vraiment très raisonnable vous avez, je ne suis pas du tout H24 sur la cb, c'est pas mon genre (plus sérieusement, quasi tous les jours) ϟ Ce personnage est : un post vacant ϟ Où nous avez-vous connu : J'ai vu la lumière, je suis rentrée ϟ Le mot de la fin : #SlytherinRulesTheWorld
Dernière édition par Narcissa Malfoy le Mer 6 Jan - 15:25, édité 9 fois
Peut-on être heureux en naissant entre la haine et l’orgueil ? Voilà une question que bien des gens se posent. À raison, peut-être, mais au fond, comment un enfant pourrait-il comprendre ces choses-là ? Comment pourrait-il savoir que les principes que l’on lui inculque sont empreints de sombres sentiments ? On naît Black, on ne le devient pas. C’est une affaire de sang, de famille, ça l’est toujours.
Cygnus et Druella Black. Deux noms bien connus dans le monde magique. Nobles représentants de leur sang, de leur famille. Druella Black avait déjà deux filles lorsqu’elle donna naissance à Narcissa lors d’une froide soirée d’hiver. Le vent soufflait, et la neige recouvrait le paysage d’un linceul blanc. Narcissa était à l’image de l’hiver : son teint était de porcelaine, ses cheveux d’or, et ses yeux de glace. Oui, elle serait parfaite, elle était destinée à l’être. Elle n’avait qu’un seul défaut, c’était une fille. Encore une. Druella Black n’était-elle donc pas capable de donner naissance à un fier héritier Black, qui perpétrerait ce nom noble et puissant ? À la place, le destin n’offrait à Cygnus que trois sœurs. Trois fillettes.
Bellatrix était l’aînée. Elle était une force de la nature, mais rongée par un mal dont l’enfant que Narcissa était ne comprenait pas la nature, pas encore. Pourquoi sa grande-sœur se refusait-elle à obéir ? Tout aurait été bien plus simple si elle se taisait et écoutait. Car c’était ce qu’elles devaient faire afin d’être de parfaites héritières, être telles des poupées de porcelaine. Mais Bellatrix était une guerrière, elle ne tolérait pas les chaînes, et le payait au prix fort. Et à chacun de ses cris, Narcissa aurait aimé pouvoir trouver les mots justes, avoir la même force, la même douceur que Andromeda. Elle admirait tellement cette dernière, la seule à pouvoir réellement calmer leur aînée. Modèle de patience et d’affection. Mais Narcissa n’était que la cadette, celle qui rentrait dans le moule forgé par ses parents sans trop poser de questions. Elle avait très rapidement compris qu’il ne servait à rien de défier leur autorité. Elle ne voulait pas souffrir, n’en voyait pas l’intérêt. S’ils étaient satisfaits d’elle, alors elle pourrait mener une existence paisible.
En dehors du jour de sa naissance, Narcissa n’a jamais déçu. Elle était l’enfant prodige, un faire-valoir que l’on exhibait volontiers lors des soirées. Belle, elle se démarquait de ses sœurs avec ses boucles blondes qui retombaient sur ses épaules. Elle ne parlait pas, mais observait, comme on lui avait appris à le faire. Elle répondait avec douceur et politesse, se tenait droite, impassible. Quand Bellatrix sombrait dans la folie, son rire aigu résonnant dans le manoir Black depuis le cabinet de leur père, Narcissa trouvait toujours un mot à dire pour détourner l’attention. Il fallait sauver les apparences, c’était tout ce qui importait. Le reste n’était que broutilles, détails qu’il convenait de camoufler.
Très tôt, Narcissa avait montré des signes de magie. Ce n’était pas une magie grandiose, explosive, comme celle de sa sœur aînée, non. C’était fin, délicat, discret. Mais réel. Ainsi, à onze ans, elle fut envoyée à Poudlard à son tour. Là où certains étaient impressionnés devant la grandeur du château, Narcissa restait de marbre. Là où certains craignaient la décision du choixpeau, Narcissa ne tremblait pas. Pourquoi aurait-elle eu peur ? Elle était une Black. Elle irait à Serpentard. Il ne pouvait en être autrement. Elle avait bien trop confiance en elle que pour envisager un autre scénario dans lequel on l’enverrait dans une autre maison. Pouvait-on seulement l’imaginer ailleurs que dans la maison vert et argent ? Chez ces lions fanfarons et insolents ? Ou encore, chez les Poufsouffles, faibles et insignifiants ? Non, Narcissa savait qu’elle rejoindrait les rangs de Salazar Serpentard. Le choixpeau n’hésita pas un seul instant, s’écriant « Serpentard ! » à peine fut-il posé sur la chevelure dorée de la jeune sorcière. À nouveau, Narcissa ne décevait pas. Elle était ce que l’on attendait qu’elle soit. Elle était telle que l’avaient façonnée ses parents. Mais Narcissa n’était pas une marionnette. Ce n’était pas une poupée que l’on pose dans une vitrine, à l’abri de la poussière. Elle était bien plus que cela. Et il aurait été extrêmement naïf de penser le contraire.
Narcissa était plus discrète que ses sœurs, que Bellatrix tout particulièrement. Mais elle n’eut aucun mal à s’imposer, avec une grâce et une élégance qui lui ont toujours été propre. Rapidement, elle s’est entourée des bonnes personnes, s’est révélée brillante en cours, tout particulièrement en sortilèges, en défense contre les forces du mal, et étonnamment, en vol également. Oh, elle aimait se tenir à plusieurs mètres du sol, sentir le vent dans ses cheveux. Une sensation de liberté qu’elle ne pouvait ressentir d’aucune autre façon. Elle aurait probablement été une excellente joueuse de Quidditch. Pas la meilleure, ou peut-être, si elle avait pris le temps de s’entraîner. Mais il était hors de question qu’une héritière Black s’adonne à un loisir aussi vulgaire et si peu élégant. Non, on la voyait bien plus volontiers à lire à un livre dans sa salle commune, toujours fière, toujours parfaite, comme dans une peinture. On la disait volontiers réservée ; il est vrai qu’elle ne parlait que très peu, mais toujours avec calme et intelligence. Jamais, on ne la vit s’énerver, ou s’émouvoir de quelque façon que ce soit. Pourtant, derrière ce masque de froideur propre à sa naissance, Narcissa était une jeune-femme tout ce qu’il y avait de plus ordinaire, avec ses joies, ses peines, ses rêves, ses espoirs. Mais jamais elle n’aurait toléré s’abandonner à ses émotions, ce n’était pas digne d’elle.
Puis vint la trahison, la disgrâce sur sa famille. Tandis que Narcissa fréquentait un certain Lucius Malfoy, un jeune-homme de sa condition, bien sous tous rapports, et approuvé depuis longtemps par ses parents, Andromeda annonça son mariage avec un sang-de-bourbe. Ted Tonks. Un nom ridicule, qui sonnait si mal aux oreilles de la cadette des Black. Comment sa sœur pouvait-elle agir de la sorte ? Elle qui était si forte, si passionnée, comment pouvait-elle abandonner sa famille, son sang, son rang ? « Par amour » semblait-il. Foutaises. Ce jour-là, dans l’ombre de sa chambre, Narcissa avait pleuré, le corps secoué par de violents sanglots. Sa famille était tout ce qu’elle avait, ce qu’elle chérissait de plus au monde. Sa sœur, son modèle, cette sorcière si forte qui avait toujours été présente pour elle comme pour leur aînée. Elle venait de la perdre définitivement à cause d’un sorcier qui n’était pas digne d’épouser une Black, qui n’était pas même digne de tenir une baguette entre les mains. Pendant longtemps, le visage brûlé d’Andromeda Black sur la tapisserie familiale hanta les rêves et cauchemars de Narcissa. Jamais toutefois personne n’en su rien. Sa sœur avait pris sa décision, et Narcissa ne pouvait se permettre de mettre sa condition en péril pour des histoires sentimentales. Car après tout, entre une sœur rongée par la folie, et l’autre traitre à son sang, elle n’avait pas le droit à l’erreur.
Son mariage avec Lucius Malfoy sonna comme une évidence. L’aimait-elle ? Oui. Il était le seul être qu’elle était capable d’aimer sincèrement, sans retenue. Ils étaient si semblables, si proches. Ce mariage, aussi arrangé pouvait-il être, fut sans doute l’événement le plus heureux de la vie de la jeune sorcière. Bien sûr, abandonner le nom « Black » fut difficile, mais prendre le nom de son époux était également une sorte de consécration. Elle n’était plus une enfant, elle ne répondait plus à l’autorité familiale, à présent c’était une femme. Une femme du monde. Derrière sa froideur et sa réserve, son regard vif et intelligent ne trompait personne ; Narcissa Malfoy n’était une poupée de chiffon, mais une sorcière puissante et intelligente, qui savait comment assurer son nom, sa réputation. Une femme manipulatrice, calculatrice, mais toujours bien de sa réputation, à laquelle personne n’a jamais rien trouvé à reprocher. Ou plus exactement, ceux-là n’ont jamais pu prouver leurs dires, et c’est tout aussi bien ainsi.
Dernière édition par Narcissa Malfoy le Mer 6 Jan - 15:23, édité 2 fois
▪ multinick : Dymphna la blonde, et Cin ... le blond. #Originalité
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▪ situation : Mariée et fidèle à Lucius Malfoy
▪ crédits : fassylover (avatar) et darkparadise (sign)
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▪ legilimancie :
▪ occlumancie :
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Narcissa Malfoy
Sujet: Re: CISSY ∆ devil may cry Mar 14 Juil - 13:24
Merci à vous
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▪ pseudo : A KIND OF MAGIC
▪ multinick : nope
▪ célébrité : Balem
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▪ maison : gryffondor
▪ emploi : médicomage
▪ orientation : hétéro
▪ situation : moi je ne crois pas qu'il y ait de bonne ou de mauvaise situation...
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▪ duels :
▪ potions :
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▪ legilimancie :
▪ occlumancie :
▪ quidditch :
▪ divination :
Fabian Prewett
Sujet: Re: CISSY ∆ devil may cry Mar 14 Juil - 22:28
Je te valide ma belle, cette fiche était très agréable à lire (JAI MEME PAS TROUVE UNE FAUTE -comment ça on dirait aline ???-) bon tu sais comment ça marche now, il faut recenser ton ava, t'inscrire partout et te recenser, désolée j'aurais pu te valider une heure après, mais j'ai pas pensé sur le coup