~ rat a tat (wormtail).

Baguette : la baguette du jeune pettigrew est constituée de bois de châtaignier et mesure vingt-trois centimètres en tout. en son coeur sommeille un ventricule de dragon. il est à noter que la baguette, si mal entretenue ou sujette à de violents coups, pourrait facilement se casser.

Miroir du Riséd : compter pour quelqu'un. oh, bien sûr, il a des amis, trois excellents amis sans qui il ne serait sans doute rien, il faut bien l'admettre, mais il se sent et il se sait inférieur à eux. pourquoi ? la question est presque risible tant les réponses sont évidentes. parce qu'il est terrorisé dès qu'on s'attaque à lui et que c'est pour cela qu'il adore tant rabaisser les autres dès qu'il le peut, à condition que james ou sirius soit à ses côtés, naturellement -  lui il n'oserait jamais embêter les autres s'il était tout seul. parce qu'en cours, il est clairement moins doué que ses trois meilleurs amis réunis et parce qu'il a toujours besoin qu'on l'aide pour ceci ou cela. et puis finalement parce qu'il est de petite taille, qu'il a un sale embonpoint depuis qu'il est gamin, qu'il lui arrive de bégayer lorsqu'il se sent intimidé, qu'il se trouve moche et que... voilà, il ne s'aime pas, un point c'est tout. alors son plus grand souhait, c'est d'être désiré par quelqu'un pour ce qu'il est. pas forcément trouver son âme soeur, il se doute que personne ne veut de lui sur le plan amoureux de toute façon. non, il a simplement envie de se savoir important pour quelqu'un, quelqu'un qui ne le fasse pas sentir comme un moins que rien. ouais, c'est ce qu'il aimerait, au fond.

Épouvantard : si peter rencontrait un épouvantard, il se retrouverait indubitablement face à vous-savez-qui. le jeune homme craint énormément le seigneur des ténèbres - et encore, c'est un euphémisme - et n'arrive pas à comprendre comment certains peuvent rester stoïques en sa présence. c'est vraiment un mystère pour lui. la simple mention de cet être diabolique lui donne la chair de poule, et ce même s'il est un gryffondor et que le courage devrait être sa plus grande vertu.

Amortentia : s'il était en présence de cette potion, peter sentirait trois odeurs distinctives. la première ? l'odeur de son lit douillet à la maison, parce qu'enfant, dès qu'il se sentait mal et que ça n'allait pas, il se réfugiait dans son lit, sous les chaudes couvertures, en attendant que la tempête passe. son lit était un peu son abri, même si aujourd'hui il n'a plus le réflexe de se réfugier sous les couvertures dès qu'un problème montre le bout de son nez. non, en fait, rectification : il a james, sirius et remus s'il veut se cacher. mais jamais il n'oserait le leur avouer à voix haute. de toute façon, ils le connaissent si bien à présent qu'ils le savent déjà, probablement. la deuxième odeur ? celle de l'herbe, parce que ça lui rappelle toutes les virées nocturnes auxquelles il a participées en compagnie de ses meilleurs potes, celles d'avant et celles à venir. eh oui, puisqu'il se transforme en rat plus bas que terre, il n'hume que l'herbe qui l'entoure, c'est logique. alors il a associé cette odeur au plaisir et à l'adrénaline ressenties lorsqu'il enfreint le règlement du collège pour rejoindre remus, les soirs de pleine lune. et puis finalement, la troisième odeur est celle des sucreries. peter, en grand gourmand qu'il est, ne refuse jamais une friandise et il n'est pas rare de l'apercevoir dans les couloirs de Poudlard avec une boîte de Chocogrenouille ou bien une plume en sucre à la main.

Compétences magiques

Duels : 6/10
Potions : 5/10
Métamorphose : 10/10
Sortilèges : 6/10
Légilimancie : 2/10
Occlumancie : 1/10
Quidditch : 5/10
Divination : 5/10

Un appartement londonien des plus modestes, tel était le logis des Pettigrew. Un appartement modeste, banal et éloigné du centre-ville. Un appartement qui n’attirait pas l’attention, et surtout pas celle des Moldus. C’était très bien comme ça.

La nuit allait bientôt tomber. Le garçon à la coiffure de mouton était assis sur les marches du perron, une chemise quelque peu rapiécée par les jeux et les intempéries. Il attendait. Sur ses genoux reposait un bouquin qui s’apparentait sans aucun doute à la famille des dictionnaires, à peine entamé et qui parlait de sortilèges pour débutants que sa chère mère l’avait forcé à lire avant la rentrée. Pour mieux le préparer à ses cours, disait-elle. Alors il avait obéi comme le parfait petit garçon qu’il était ; il était sorti dehors avec l’ouvrage et s’était assis en haut des marches. Mais il n’avait pas vraiment commencé sa lecture forcée. Il avait certes posé ses grands yeux de fouine sur la première page, mais ça l’avait bien vite fatigué. Il n’était pas un intellectuel, encore moins un sportif. Qu’est-ce qu’il était, au juste ? Il n’en avait pas la moindre idée. Il n’aimait pas lire des trucs trop compliqués avec des mots encore plus compliqués, en tout cas. Alors il faisait semblant d’être concentré sur sa lecture, alors qu’en réalité, il rêvassait.

Quelques jours plus tôt, il avait reçu sa lettre pour Poudlard et même s’il en était très heureux, il en était également un peu angoissé. Comment la vie se passait-elle là-bas, exactement ? Ses parents lui avaient expliqué tout cela avec moult patience, au moins une bonne dizaine de fois, mais ils oubliaient que leur fils unique ne leur ressemblait pas. Ils oubliaient qu’il n’était pas aussi extraverti et drôle qu’eux et que l’intégration dans un groupe, pour le jeune Peter Pettigrew, était comparable à un véritable supplice. Par exemple, dès qu’il avait été suffisamment grand pour aller jouer avec les autres gamins du quartier dans un parc non loin de l’appartement familial, on s’était moqué de sa petite taille, de sa silhouette ronde et disgracieuse et bien sûr de ses cheveux de mouton, à l’image de sa personnalité. Il était prêt à faire n’importe quoi pour avoir des amis, comme tous les enfants normaux de son âge, mais franchement, qui voudrait de lui ? Alors ce n’était guère surprenant s’il s’inquiétait autant pour son entrée dans la fameuse école de magie. Comme ses parents ne le comprenaient pas, il n’avait personne à qui se confier, rendant sa situation encore plus pathétique, si la chose était possible. Peter Pettigrew, le petit garçon gras qui n’avait pas d’amis. Il n’osait imaginer comment on le traiterait à Poudlard. Non, il valait mieux ne pas y penser. Ne pas penser à quelque chose, c’était comme l’oublier et prétendre que ça n’existait pas. Pour l’heure, c’était la meilleure chose à faire.



La vie n’avait jamais autant souri à Peter Pettigrew. Le garçon n’arrivait pas à croire la chance qu’il avait. Non seulement était-il parvenu à entrer à Gryffondor, la maison de ses rêves, mais en plus il s’était fait des amis au cours de son premier trimestre à Poudlard. Et pas n’importe quels amis, oh non. Il s’agissait de garçons respectés, enviés et admirés de tous au sein de l’école de magie. Ils n’étaient encore qu’en première année, certes, mais déjà ils suscitaient un vif engouement à toujours se balader ensemble, comme s’ils étaient des vedettes. Et Peter faisait partie de la bande, aussi incroyable que cela puisse paraître.

Tout avait commencé lors du cours de métamorphose, auquel participait également James Potter et Sirius Black, les prodiges de leur promotion sans aucun doute. James et Sirius étaient tellement doués, et ce sans jamais lever le petit doigt semblait-il, tandis que Peter se tuait les yeux chaque soir à lire ses manuels ô combien compliqués, dans l’espoir de rattraper son retard dans la matière vue en classe. Il faisait de son mieux pour être à la hauteur, mais il échouait sans cesse, ce qui était décourageant et démotivant en soi. Surtout en potions. Il en avait vraiment plus qu’assez de se taper la honte devant tous les élèves dès qu’il se trompait dans l’ordre des ingrédients à verser dans son chaudron, par exemple. Mais c’était comme ça. Il était Pettigrew, le nul, l’éternel cancre. Il essayait bien de prendre exemple sur les dieux vivants de Poudlard, à savoir Potter et Black bien sûr, mais autant demander à un ogre d’avoir l’air intelligent : le résultat serait le même.

Vint cependant un jour, un heureux jour, où sa solitude quotidienne prit fin. Comme déjà mentionné, cela se passa lors du cours de métamorphose. Ce jour-là comme tous les autres, il ne comprit pas grand-chose à la partie théorique et se ridiculisa lors de la partie pratique. Il eut envie de vomir lorsqu’il apprit que l’exercice ferait partie de l’examen de fin de trimestre. Le soir même, il se pratiqua sur son lit, bien décidé à changer la couleur d’une petite tasse de thé comme expliqué dans le cours. Il était quasiment au bord de la crise de nerfs lorsqu’une voix amicale s’adressa à lui. « Hey, Pettigrew ! Besoin d’un coup de main, peut-être ? » Il s’agissait de Potter. Potter, qui avait changé la couleur de sa tasse en classe sans difficulté. Normal, c’était un génie. D’ailleurs, pourquoi est-ce qu’un garçon aussi populaire que lui serait prêt à l’aider avec ce devoir ? Il n’en avait pas la moindre idée, mais n’allait certainement pas refuser cette proposition inattendue. Surtout venant de James Potter. Les yeux brillant d’admiration, il hocha la tête, n’osant pas lui parler par peur de dire une bêtise. Potter l’aida malgré cela, lui montra comment bien prononcer la formule, que Peter bafouillait avec maladresse depuis le début, raison pour laquelle le sort ne marchait pas correctement.

De fil en aiguille et contre toute attente, les deux garçons devinrent de vrais amis et Potter, que Peter appelait James à présent, lui présenta Sirius puis Remus. C’est ainsi que Peter se retrouva dans le quatuor bien-aimé de Poudlard et qu’il apprit à s’affirmer, bien qu’il demeurât toujours un peu dans l’ombre de ses amis. Au début, il craignit un peu Sirius, le dur à cuire, mais apprit à bien le connaître et s’estima chanceux de l’avoir comme ami. Plus personne n’osait embêter Peter à cause de son surpoids ou de sa tête de fouine. On ne le respectait peut-être pas, mais on le laissait tranquille au moins, tout simplement parce que James et Sirius veillaient. Quant à Remus, Peter appréciait sa compagnie également et l’autre garçon se révéla être meilleur que James pour lui expliquer ce qu’il n’avait pas compris en classe. Rien d’étonnant, puisque Remus était sans doute le plus patient et le plus intellectuel d’entre eux, celui qui passait quasiment tout son temps libre le nez plongé dans ses bouquins. Bref, Peter avait l’impression d’avoir trouvé sa place, même si le prix de cette place était d'être le complice de cruelles blagues de mauvais goût... Mais qu'importait, tant qu'il n'était plus seul dans son coin ? Finalement, il se surprit même à croire les mérites de Poudlard dont ses parents l’avaient assommé avant son départ.



Toute l’école était au courant de l’ingéniosité parfois malsaine des quatre garçons, mais personne n’aurait pu se douter jusqu’où cette ingéniosité pouvait aller. En y réfléchissant un peu, la réponse était un peu évidente : ils seraient prêts à tout pour leurs amis, en parfaits petits lions qu’ils étaient. En l’occurrence, c’est à Remus qu’ils vinrent en aide. D’une certaine manière.

Au cours de l’année dernière, James et Sirius avaient remarqué que leur intellectuel préféré disparaissait toujours une fois par mois et qu’il semblait toujours fatigué. Peter ne s’en rendit compte que bien plus tard, étant trop ébloui par ses deux idoles, mais dut admettre qu’ils avaient raison. La fatigue, c’était compréhensible, avec les cours et les devoirs à rendre. Mais ces disparitions mensuelles, c’était tout autre chose. Peter n’avait pas vu Remus cet été, même si les deux garçons s’étaient bien sûr échangés quelques lettres, donc il ne pouvait savoir si son ami agissait de la même façon pendant les vacances. Une chose était sûre cependant : Remus recommença son petit manège en deuxième année également, ce qui attira l’attention de ses trois amis.

Après réflexion, James et Sirius arrivèrent à une conclusion, à laquelle Peter approuva après coup, soit qu’il était plus que probable que Remus soit un loup-garou. Un loup-garou, leur meilleur ami ! C’était assez absurde car ces bêtes sont dangereuses, mais quelle autre explication pouvait-il y avoir ? Peter n’en voyait pas, en tout cas. Il fut donc convenu qu’ils iraient confronter Remus, en espérant pour le mieux. Ils tirèrent deux conclusions, ce jour-là : de un, Remus était bel et bien un lycanthrope et de deux, jamais ils ne l’abandonneraient pour ça. Bien au contraire.

C’était peut-être dû à l’arrogance des leaders du groupe, mais l’idée de se transformer en animaux pour rejoindre un loup-garou lors des soirs de pleine lune atterrit dans l’une de leurs nombreuses conversations pendant l’année scolaire. C’était une idée folle, sans aucun doute qui, s’ils la mettaient en pratique, leur mériterait l’expulsion sans préavis. Pourtant, ils étaient tous d’accord qu’un loup-garou ne pourrait s’en prendre à des animaux, qui étaient d’une certaine façon ses semblables, même si Remus émit quelques doutes à ce sujet. Peter, quant à lui, se montra très enthousiaste à l’idée. C’était dangereux, mais aussi amusant de faire partie d’une telle aventure. Il sentait qu’il appartenait vraiment au groupe, cette fois. Mais avant d’organiser les petites escapades nocturnes, il fallait parvenir à se transformer, c’est-à-dire devenir des Animagi.

L’opération ne se fit pas en claquant des doigts. Bien sûr que non. Ils n’avaient que douze ans, ils étaient encore en apprentissage et, tous aussi doués furent-ils, ils n’avaient pas les connaissances et les compétences magiques d’un élève de septième année. N’empêche, c’est à partir de cette année-là qu’ils se mirent à bosser comme des fous entre les cours pour réussir à se transformer, sans être vus ni connus naturellement. Ce qu’ils ne feraient pas pour aider un ami.



Ce n’est que trois années plus tard qu’ils réussirent. Trois années de dur labeur, pendant lesquelles les résultats scolaires de Peter en prirent tout un coup, ce qui ne ravit nullement ses parents, enfin surtout sa mère qui agissait parfois comme une mère poule – l’embarras total. Malgré cela, il parvenait à réussir ses cours, généralement de justesse. Lorsque les examens officiels du Brevet Universel de Sorcellerie Élémentaire pointèrent le bout de leurs sales nez, toutefois, Peter paniqua un peu. Il savait qu’avec des notes de passage, il n’irait pas loin dans la vie. Il avait besoin de réussir ces examens, c’était primordial pour son avenir.

Malgré tous ses efforts, il n’avait pas encore réussi à devenir un Animagus comme ses deux amis, qui prenaient respectivement l’apparence d’un cerf et d’un chien, autrement dit des animaux à la carrure imposante, au cas où les choses tourneraient mal. En fait, il n’était tout simplement pas aussi doué qu’eux, c’était assez évident et ses échecs répétés le lui montraient bien. Mais il ne baissa pas les bras, encouragés par ses amis, et redoubla d’efforts pour se préparer au BUSE. Advienne que pourra, comme on dit. C’est pendant cette année qu’il se rapprocha de la jolie Lily Evans, qui fut d’une aide précieuse pour les cours de potions. Elle devint une très bonne amie, ne se moquant jamais de lui. Ça lui faisait chaud au cœur.

Et puis, le miracle se produisit. Il se transforma en rat lors d’une des réunions secrètes de la bande. Ce qui était évident, à bien y réfléchir. Non seulement était-il de petite taille sous forme humaine, mais il était également effacé, un peu geignard, suiveur, débrouillard, un peu comme un rougeur qui se bat pour survivre, quoi. C'était peut-être peu glorieux comme forme, il fallait l’avouer, mais là était toute la ruse : il fallait bien quelqu’un pour bloquer la pieuvre qu’était le saule cogneur de ses folles tentacules et quoi de mieux qu’un petit rat agile pour appuyer sur la branche passe-partout, n’est-ce pas ?

En plus, pendant les dernières semaines, ils avaient mis au point une carte magique permettant de savoir en temps réel qui se trouvait où. Pour que personne ne soit au courant de cette invention géniale et ingénieuse, il suffisait de prononcer les mots magiques, Je jure solennellement que mes intentions sont mauvaises pour animer la carte, Méfait accompli pour qu’elle redevienne un banal morceau de parchemin. Dès lors, les aventures de Cornedrue, Patmol, Lunard et Queudver pouvaient commencer.



Comme James et Sirius l’avaient prédit, le loup-garou qui s’emparait du corps et de l’esprit de Remus chaque mois ne s’en prenait pas au cerf, au chien et au rat qui l’accompagnaient. C’était une bonne chose, assurément, sans quoi Remus se serait retrouvé sans amis du jour au lendemain. Mais le résultat positif de cette première escapade nocturne, loin de les effrayer, les encouragea à recommencer le mois suivant, puis le mois suivant, et ainsi de suite. Le temps passa, les adolescents devinrent des adultes, dans le monde magique du moins.

Peter commençait à angoisser pour la fin de l’année scolaire, même si on n’était qu’en automne. Il ne savait pas trop quoi faire une fois son diplôme en poche. Sans doute opterait-il pour un métier qui ne l’éloignerait pas trop de ses amis, quoi que ce soit. Il diluait son stress dans les pleines lunes et essayait de ne pas trop y penser, ce qui était plus facile à dire qu’à faire.

Entre-temps, James continuait d’en pincer pour Lily Evans, qui n’en avait rien à faire. Lorsque Peter la voyait en Potions, il avait envie de lui dire que le binoclard était un type bien malgré son humour déplacé et son arrogance non-stop, mais il ne le faisait pas. Il se disait que la rousse ne le croirait pas, de toute façon. Agissait-il par lâcheté ? Bon, peut-être un peu. Mais surtout, ça ne le regardait pas. Quant à Sirius, il flirtait avec toutes les filles de l’école semblait-il et Remus… était Remus, le calme incarné, même si Peter savait que derrière se calme apparent pouvait très bien se cacher une agressivité et une rage animales. Normal, c’était lui le plus dangereux de la bande, malgré les apparences. Mais bon, comme Remus était devenu préfet-en-chef, il se devait bien de montrer l’exemple à tous. Ce que jalousait un peu Peter, même s’il le cachait bien. James était la vedette au Quidditch, Sirius le bad boy qu’on s’arrachait, Remus le préfet modèle et lui, eh bien il était ce petit gars bizarre qui couinait tel un rat dès qu’il était effrayé. Pathétique, oui.

Et bien sûr, il y avait Servilus, alias Severus, que les Maraudeurs adoraient persécuter depuis la première année. Honnêtement, Peter était content de ne pas être à sa place. Il n’éprouvait aucun remords à se moquer ouvertement du souffre-douleur de Poudlard, puisqu’il ne risquait rien : ses amis seraient toujours là pour le défendre, quoi qu’il arrive, n’est-ce pas ?